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Posts de blog (259)

  • "Vinci Immobilier se positionne comme un promoteur ensemblier, partenaire, citoyen et créatif"

    Hélène El Aïba, co-directrice générale de l'Immobilier résidentiel chez VINCI Immobilier, détaille la stratégie de l'entreprise pour sortir par le haut de la crise qui touche le secteur de la promotion. Quelle est la spécificité de VINCI Immobilier au sein du groupe VINCI ? VINCI Immobilier, filiale du groupe VINCI, est un des principaux promoteurs nationaux.Nous intervenons principalement dans des zones déjà urbanisées ou artificialisées sur l’ensemble du territoire, avec une belle implantation en Île-de- France, et ce, dans les deux grands secteurs du marché : l’immobilier résidentiel (logements et résidences gérées) et l’immobilier d’entreprise (bureaux, hôtels, commerces), s’adressant ainsi aux investisseurs, aux institutionnels et aux particuliers.Nous nous positionnons comme un promoteur ensemblier, partenaire, citoyen et créatif.« Ensemblier », parce que nous assurons trois activités complémentaires, la promotion, l’exploitation et la prestation de services. Auprès des collectivités et des aménageurs, VINCI Immobilier est un partenaire informé, à l’écoute et proactif. Grâce à notre direction territoriale, avant chaque montage, nous nous interrogeons sur la manière de répondre aux besoins d’un territoire. De cette façon, nous optimisons l’acceptabilité des opérations en ayant comme unique objectif, créer une ville mixte et inclusive au service du vivre-ensemble et du lien social. Comment l’activité de VINCI Immobilier s’inscrit-elle dans la vie de la cité ? En cohérence avec les valeurs du groupe, VINCI Immobilier est impliqué en matière de responsabilité sociétale. Nous travaillons avec des acteurs de l’écono- mie sociale et solidaire, que ce soit pour le logement libre ou le logement social et nous proposons des solutions inclusives afin de concevoir une ville plus mixte et solidaire. Nous avons aussi à cœur d’être créatifs et innovants. Pour imaginer les montagesles plus adaptés, nous faisons preuve d’inventivitéet mobilisons une approche agile et pluri-experte. Au quotidien, nous restons attentifs aux nouvelles niches de produits. En ce moment en Île-de-France, nous travaillons à la fois sur la transformation de bureaux en logements et sur la reconversion de friches industrielles. À cet égard, VINCI Immobilier est le premier promoteur à s’être engagé à atteindre le zéro artificialisation nette à horizon 2030. Nous sommes également très attachés à la qualité de nos opérations. D’ailleurs, VINCI Immobilier fait partie des promoteurs observant le moins de réserves à la livraison. Enfin, une singularité fait notre fierté : dans le cadre de la charte « 1 immeuble, 1 œuvre », initiée par le ministère de la Culture et dont nous sommes signataires, notre parc immobilier comprend un patrimoine d’œuvres d’art remarquables. Comment analysez-vous la crise de la construction immobilière ? Notre secteur traverse la crise la plus importante depuis les années 1990. Chez VINCI Immobilier, nous avons choisi de nous adapter aux nouvelles réalités du marché. Nous continuons à développer des programmes de bureaux, mais de manière plus mesurée et avec des approches innovantes. En matière de logement, nous faisons évoluer nos offres pour répondre aux attentes actuelles. Le prêt à taux zéro (PTZ) est particulièrement apprécié des primo-accédants et représente un levier important pour soutenir notre activité. Nous mettons un point d’honneur à maintenir un haut niveau de qualité architecturale et environnementale, renforçant ainsi notre crédibilité auprès des collectivités. Quelle est votre lecture du Grand Paris ? Le Grand Paris Express, dont le groupe VINCI est partie prenante, est une chance pour le développement de notre territoire et pour nos métiers. Avec cette nouvelle infrastructure, la métropole sera moins centrée sur son cœur et fonctionnera mieux dans sa première périphérie. À propos de sa gouvernance, ce n’est un secret pour personne, c’est aujourd’hui un mille-feuille administratif complexe. Si nous devions émettre un souhait, ce serait d’aller vers plus de lisibilité. Il faudrait que tous les acteurs se fédèrent pour faire en sorte que les projets sortent plus facilement, dans un esprit d’intérêt général. En quoi les Jeux olympiques et paralympiques ont-il constitué une opportunité pour VINCI Immobilier ? À Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), élément incontournable du Grand Paris, Universeine est un projet d’aménagement et de requalification d’une friche industrielle de 6,4 hectares d’où émergera un nouveau quartier de vie durable qui dynamisera le territoire. Cette opération réversible et bas carbone est conçue pour offrir deux vies à ce futur quartier. La première a été celle du Village des athlètes ; la seconde, dite« héritage », donnera vie à un écoquartier mixte et inclusif, qui accueillera près de 3 000 habitants et 3 500 salariés. Il s’articulera autour de 78 930 m2 de logements, 63 630 m2 de bureaux, 4 060 m2 de commerces, crèche et pôle médical.Développés selon des principes bioclimatiques, certains bâtiments du programme sont construits en structure ou façade bois et en béton bas carbone. Ils répondront à l’ambition d’atteindre un bilan carbone inférieur de 40 % à celui de bâtiments conventionnels, six ans avant l’échéance 2030 définie par l’Accord de Paris. L’opération offrira également un terrain d’expérimentation inédit au réemploi des matériaux de déconstruction. À Saint-Denis, Universeine, projet d'aménagement et de requalification d'une friche industrielle de 6,4 hectares. Avec quelles autres opérations vous positionnez- vous dans un paysage immobilier en mutation ? Dans le Grand Paris, nous travaillons toute la palette du métier de promoteur. Avec l’immeuble WOW, rue de Clignancourt, dans le 18e arrondissement, nous menons une opération de recyclage urbain à grande échelle. Le projet tient d’abord à la valorisation patrimoniale de la façade des anciens grands magasins Dufayel et à l’impressionnante charpente métallique de type Eiffel. L'immeuble WOW, rue de Clignancourt, dans le 18ème arrondissement de Paris. Les nouveaux volumes accueilleront des espaces de travail hybrides et réversibles, une salle de spectacle, de nombreux espaces extérieurs et même un rooftop avec vue sur la basilique du Sacré-Cœur. C’est un actif que nous avons courageusement lancé malgré la crise.À Suresnes (Hauts-de-Seine), l’opération« Métamorphose » consiste à transformer un terrain situé en front de Seine et entièrement artificialisé à l’origine. Le programme comprendra près de 30 % de pleine terre, soit 3 700 m2 d’espaces verts, et proposera des logements, un hôtel 4 étoiles, une résidence de coliving Bikube pour les jeunes actifs, des commerces et une crèche. Compte tenu de l’emplacement, nous arrivons à séduire des acquéreurs à des prix attractifs. Autre succès commercial, à Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne), au sein de l’écoquartier du Sycomore, nous avons récemment livré « Agora Parc II », un vaste projet résidentiel dans un style contemporain, pensé comme un trait d’union entre la ville et la nature, où une nouvelle centralité est proposée aux habitants. De beaux espaces paysagers se prolongent sur un parc arboré. Plusieurs services sont également proposés, comme un gîte urbain à disposition des résidents, une conciergerie ainsi que des voitures et des vélos électriques partagés. Le projet a même suscité la curiosité de Guillaume Kasbarian, alors ministre délégué au Logement. L'opération "Métamorphose" à Suresnes (Hauts-de-Seine), en front de Seine.

  • « Nous favorisons une qualité de vie et une cohésion sociale par le logement »

    Depuis plus de 70 ans, le Groupe Action Logement, reconnu d’utilité sociale, facilite l’accès au logement pour favoriser l’emploi et propose des solutions concrètes pour répondre aux enjeux des entreprises et de leurs salariés. Il contribue au développement de l’attractivité économique et de l’équilibre social des territoires. Interview de Caroline Perriot, directrice régionale Île-de-France d'Action Logement Services. Pouvez-vous nous rappeler les fonctions qui font l’ADN d’Action Logement en Île-de-France ? Nous sommes un acteur de référence du logement social et intermédiaire, la foncière la plus importante d’Europe avec plus d’un million de logements. Grâce à la contribution des entreprises (PEEC), nous réalisons deux missions principales. Nous finançons et construisons des logements abordables et durables. Face à la crise climatique, la réduction de l’empreinte de nos activités est urgente et s’appuie sur une amélioration radicale de la performance énergétique et un renouvellement de la conception des logements neufs pour une construction bas carbone sobre et circulaire. Nous avons une forte politique de rénovation de notre parc immobilier et tous nos logements seront en classe énergétique C dès 2030. Notre deuxième mission est d’accompagner les salariés dans leur parcours logement, et notamment les jeunes et les salariés en mobilité, en proposant des services et des aides financières. En Île-de-France, Action Logement Services et les filiales immobilières du Groupe, comme 3F, Seqens ou Erigère, interviennent aussi pour favoriser l’accession à la propriété des salariés. Un tiers des logements acquis dans le cadre de notre plan « 30 000 logements pour l’emploi » sont sur ce territoire. Cela permet de soutenir le secteur de l’immobilier en crise, tout en apportant des solutions aux salariés. La majeure partie des projets de trans- formation de bureaux en logements de notre filiale FTI (Foncière de Transformation Immobilière) est en Île-de-France et nous proposons aussi des opérations en Bail réel solidaire (BRS). Enfin, l’héritage des JOP 2024 laisse entrevoir aussi de belles opportunités. En Île-de-France en 2023, nous avons investi plus de 411 millions d’euros dans la production de logements, logé 35 575 ménages et délivré près de 160 000 aides à nos clients. Nous sommes présents dans les 8 départements et développons nos activités au plus près des salariés avec un accompagnement personnalisé. En facilitant l’accès au logement pour les salariés, le Groupe soutient l’emploi et la performance des entreprises. Quelle est votre vision du Grand Paris du logement ? Même question pour l’Île-de-France. Action Logement assume une responsabilité à l’égard de ses bénéficiaires et de ses locataires, et de l’ensemble du secteur du logement abordable. Nous visons un développement équilibré, en concertation avec les territoires, à proximité des zones d’emploi, des transports, des services, tout en agissant en faveur du climat. Ce volontarisme est inscrit dans la stratégie : dans le cadre de la Convention quinquennale 2023-2027 signée avec l’État, le Groupe s’est engagé à produire 40 000 logements par an et à en rénover autant sur l’ensemble du territoire. 2023 a marqué une étape dans l’engagement du Groupe en faveur de la politique de la ville et des 3 millions d’habitants concernés par le Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU). L’accélération de la contractualisation des projets NPNRU s’est confirmée en Île-de-France. Nous avons une stratégie qui améliore le cadre de vie des habitants et des quartiers, et est un moteur du changement d’image de nos villes en mutation. Nous favorisons une qualité de vie et une cohésion sociale par le logement dans la région. Quel regard portez-vous sur la sortie de crise et le rôle d’Action Logement dans celle-ci ? La signature de la Convention quinquennale 2023-2027 entre l’État et Action Logement est une avancée majeure qui apporte des solutions concrètes à la crise du logement, dans tous les territoires de l’Hexagone et des Outre-mer. Elle pose une politique du logement abordable et durable ambitieuse, essentielle à la cohésion sociale et à la vitalité économique du pays pour les cinq années à venir. Les 14,4 milliards d’euros mobilisés par l’État et Action Logement pour cette période apportent des réponses à l’ensemble des acteurs du secteur. Action Logement poursuivra ses interventions au service de la mobilité résidentielle et professionnelle, et maintiendra son effort en faveur de l’attractivité des territoires, notamment à travers le soutien à l’Anru et au programme Action Cœur de Ville. Il existe une réelle urgence en matière de logement. Cette convention donne un cadre de coopération clair et réaffirme les trois axes stratégiques duGroupe : accompagner les salariés dans leur parcours résidentiel en lien avec l’emploi, répondre à la diversité des besoins dans les territoires et contribuer à la transition écologique et à la stratégie bas carbone. Cette mobilisation est d’autant plus urgente en Île-de-France et pour le Grand Paris qu’elle est liée à une tension sans précédent du marché locatif, qui affecte notamment les jeunes et les entrave dans leur accès à la formation, à l’emploi et plus généralement à l’autonomie. Cette tension s’explique par le manque de logements et leur coût, qui est souvent difficilement soutenable pour les salariés franciliens ! L’Île-de-France est un territoire riche et complexe où le logement s’impose comme un levier d’attractivité pour nos entreprises. Action Logement propose des réponses pour que le logement ne soit plus un frein à l’emploi. Par exemple, le logement intermédiaire est un maillon essentiel. Il s’inscrit depuis plusieurs 131 années dans notre stratégie avec notamment, depuis 2017, la création de cinq filiales immobilières dédiées : les in’li. 100 000 de nos locataires occupent des logements intermédiaires et ont un parcours dynamique et évolutif. Quels sont vos points de vigilance en cette rentrée que l’on annonce tendue sur le plan budgétaire ? En tant qu’acteur majeur du logement abordable et durable, notre Groupe, qui y consacre toute sa ressource, a besoin de stabilité et de quelques mesures fortes pour faciliter l’acte de construire et répondre aux besoins en logement des salariés. Notre connaissance des problématiques du lien emploi-logement, le savoir-faire des 20 000 collaborateurs du Groupe, l’agilité de nos filiales immobilières et notre capacité à agir dans un cadre partenarial avec l’ensemble des acteurs sont des atouts essentiels pour la Région Capitale qu’est l’Île-de-France.

  • "La RSE est devenue incontournable dans les réponses aux appels d'offres"

    Pour Jean-Bernard Grimoire, directeur de bureau d’études chez Rekeep France, et Émilie Da Costa, directrice RSE & Engagement, la responsabilité sociétale des entreprises fait désormais partie du quotidien des métiers du nettoyage. Émilie Da Costa et Jean-Bernard Grimoire. Le groupe Rekeep se sent-il francilien ? Jean-Bernard Grimoire : Le groupe Rekeep est un acteur majeur du « facility management», soit une trentaine de métiers que nous assurons pour nos clients : la propreté principalement, mais aussi l’accueil, la maintenance, etc. En nous acquittant de ces missions, nous permettons à nos commanditaires de se concentrer sur leur cœur de métier.À l’échelle de l’Europe, ces prestations représentent 32 milliards d’euros de chiffre d’affaires et mobilisent 32 000 salariés. Rekeep France a été créée en 2016. Actuellement en pleine expansion, la filiale hexagonale génère 30 millions d’euros de chiffre d’affaires et rassemble 1 000 salariés. L’adhésion à l’association des Acteurs du GrandParis était une évidence. Pour notre directeur général, Helder de Magalhaes, le groupe ne pouvait pas imaginer travailler en France sans être partie prenante des dynamiques franciliennes. Dans le secteur de la mobilité, nous assurons par exemple l’entretien de la gare Saint-Denis Pleyel, la plus grande du réseau Grand Paris Express. Un deuxième pôle d’activité est la santé avec des services assurés à l’AP-HP Sainte-Périne, dans le 16e arrondissement de Paris, ou au centre hospitalier de Versailles, dans les Yvelines. Nous proposons aussi une offre pour les espaces de bureaux de la région. En quoi la RSE conditionne-t-elle votre activité ? JBG : L’expansion de Rekeep se fait par l’obtention de marchés sur trois ou quatre ans. La RSE est devenue incontournable dans les réponses aux appels d’offres : elle représente 10% des critères, contre 2 % auparavant. En interne, la RSE est un moyen de fidéliser nos collaborateurs et, par là même, de garantir une qualité de service. C’est d’autant plus important que nos clients accueillent nos salariés chez eux. Rekeep France n’a que huit ans. En matière de RSE, nous devons réaliser en deux ans ce que d’autres ont effectué en quinze. Émilie Da Costa : La RSE est maintenant un sujet du quotidien pour tous les services de Rekeep France. Nous avons actuellement trois chantiers de certification : pour le management par la qualité (ISO 9001), le management environnemental (ISO 14001) et le management de la santé et la sécurité au travail (ISO 45001). C’est un message envoyé à nos potentiels clients, mais aussi à nos équipes. Nos salariés doivent savoir qu’ils travaillent pour une entreprise pour qui le bon déroulement des affaires passe aussi par des engagements sociétaux. Chez Rekeep, RSE et recrutement se recoupent autour de l’insertion et de la formation. Qu’est-ce que cela implique concrètement ? JBG : Toute entreprise de plus de 250 salariés est soumise à des obligations d’emploi pour les travailleurs handicapés, les bénéficiaires du RSA ou bien encore les personnes en insertion. Dans les appels d’offres, des organismes d’insertion peuvent être recherchés. Ils doivent assurer un rôle d’intermédiaire pour garantir les recrutements nécessaires. Or, le secteur de l’insertion est dense. C’est pourquoi, nous avons fait le choix l’année dernière de nous doter de l’expertise d’une directrice de la RSE en la personne d’Émilie. À ce stade de notre développement, nous avions besoin d’une coordination d’ensemble de notre politique RSE, avec pour priorité les ressources humaines. EDC : Dans le cadre d’un appel d’offres, mon apport est d’aider à la décision en identifiant le bon interlocuteur dans le paysage de l’insertion. Je fais du porte-à-porte en rayonnant à proximité du marché potentiel. Je sollicite mes contacts dans les missions locales, dans nos agences France Travail référentes ou dans les collectivités. C’est beaucoup de terrain et de relationnel. Par la suite, l’insertion implique de donner une chance aux gens et de leur faire confiance. Nous entendons aller au-delà de la part qui nous incombe en tant que grande entreprise. Nous accompagnons nos collaborateurs dans l’accès à un emploi plus sympathique pour eux, avec de la montée en compétences, de la formation, des certifications et des diplômes. Nous avons noué une étroite coopération avec l’INHNI, un centre de formation spécialisé dans les métiers du nettoyage. Comme notre masse salariale varie avec nos marchés, nos équipes sont très volatiles. C’est pourquoi, nous faisons en sorte, qu’au lieu de changer d’employeur, ils utilisent un temps de battement pour se former avec nous. Les métiers du nettoyage sont parfois jugés difficiles. En quoi vos engagements permettent-ils de les rendre plus attractifs ? EDC : Le turn-over, l’absentéisme et les accidents du travail sont en baisse chez Rekeep France. Étant donné que nous militons pour le travail en journée, de plus en plus femmes peuvent travailler pour nous, tout en s’occupant de leurs enfants. Au sein de la filiale, nous sommes en majorité des femmes, direction comprise. Mon côté féministe est ravi ! JBG : Il y a cinq ans, une grosse partie de notre activité était effectuée à temps partiel, parfois fractionnée sous les trois heures par jour. Désormais, nous optimisons les horaires pour aller vers du temps plein. La RSE comporte aussi un volet environnemental. Comment se concrétise-t-il chez Rekeep France ? EDC : Les achats sont un levier important.Nous étudions désormais le cycle de vie d’un produit et plus seulement le prix. Nous pouvons acheter un chariot plus cher s’il est fabriqué à partir de matériaux recyclés, mais aussi s’il est plus maniable pour un salarié. C’est pareil pour les consommables. Nous pouvons proposer des essuie-mains non blanchis éco-labellisés. Nos clients nous suivent parce qu’ils sont eux aussi volontaires en matière de responsabilité environnementale. JBG : Les modes de déplacement de nos équipes constituent un indicateur important pour un client comme la SNCF, qui est très attachée à la mobilité durable. En Île-de-France, tous nos salariés rejoignent dorénavant leurs sites soit en transports en commun soit en voiture hybride

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  • Dossier : Coopérations et Territoires

    DOSSIER DOSSIER LES PROJETS SONT LES SOLUTIONS ! EDITION 2022. DOSSIER APRÈS UNE ANNÉE TRÈS DYNAMIQUE, LES ACTEURS DU GRAND PARIS ONT DÉSORMAIS LEUR MAISON DOSSIER 2021, ANNÉE DE LA MONTÉE EN PUISSANCE DES ACTEURS DU GRAND PARIS DOSSIER LES PROJETS SONT LES SOLUTIONS ! EDITION 2021.

  • Portrait : Coopérations et Territoires

    PORTRAIT PORTRAIT SBG LUTÈCE : LE BEAU CHEMIN DE MATHIEU GUNDUZ PORTRAIT LE GOÛT DES AUTRES : AMANDINE MARTIN PORTRAIT UN HOMME QUI COMPTE : RICHARD CURNIER PORTRAIT PLUS RAPIDE LA VIE : STEPHANIE BENSIMON PORTRAIT LE SENS DE L’ACTION PUBLIQUE : MATHILDE CHARPENTIER PORTRAIT PASSION PIERRE : OLIVIER FRARD PORTRAIT L’ÉTOFFE DE LA COM’ : MARIA BREIDY PORTRAIT SIMPLEMENT PARISIENNE : DIANE MÉRAND PORTRAIT LA TERRE NOURRIT LE TEMPS : GUILLAUME BEAUMONT

  • Reportage : Coopérations et Territoires

    REPORTAGE REPORTAGE COMMENT REFONDER LA VILLE SUR ELLE-MÊME ? REPORTAGE LE CERCLE DES FEMMES DE L’IMMOBILIER : PROFESSIONNALISME ET EXCELLENCE AU FEMININ REPORTAGE CO-CONSTRUIRE ET DÉVELOPPER LA VILLE DE DEMAIN REPORTAGE LES DÉPARTEMENTS APPELLENT À UN PARTAGE ÉQUITABLE DES GAINS DU GRAND PARIS EXPRESS REPORTAGE LA GRANDE COURONNE SAIT FAIRE VALOIR SES ATOUTS FACE AU GRAND PARIS REPORTAGE JO 2024 : LES CHANTIERS BATTENT LEUR PLEIN REPORTAGE LE GRAND PARIS EXPRESS MET L’ÎLE-DE-FRANCE SUR LA VOIE DE LA CROISSANCE VERTE REPORTAGE LE GRAND PARIS A BESOIN D’INITIATIVES FORTES : PIERRE VELTZ, ECONOMISTE REPORTAGE ACTEURS DU GRAND PARIS ET LE GROUPE SOS FONT LE PARI(S)DE L’INNOVATION SOCIALE REPORTAGE LE GRAND PARIS : UNE APPROCHE DURABLE ET INCLUSIVE POUR LES MÉTIERS DU FACILITY MANAGEMENT REPORTAGE UN GRAND PARIS LOCAVORE ET GOURMAND REPORTAGE AVANT LE GRAND PARIS, LE GROSS PARIS DE 1940 REPORTAGE QUEL AVENIR POUR LE BUREAU ET LE LOGEMENT POST-COVID ? REPORTAGE RECHERCHE : L’ÎLE-DE-FRANCE AMÉLIORE SA LISIBILITÉ À L’INTERNATIONAL REPORTAGE PARIS-SACLAY : LE COUP D'ACCÉLÉRATEUR REPORTAGE VERS UN GRAND PARIS DE PLUS EN PLUS BIOSOURCÉ REPORTAGE JOP PARIS 2024 : LA SOLIDEO ENTRE DANS LA PHASE TRAVAUX REPORTAGE LE QUARTIER PLEYEL, DU GÉNÉRAL DE GAULLE AU GRAND PARIS REPORTAGE LE CHÂTEAU OUBLIÉ DU VAL-DE-MARNE REPORTAGE VOYAGE AU CŒUR DES GRANDS SYNDICATS FRANCILIENS REPORTAGE LES SEM DU GRAND PARIS SE RÉINVENTENT REPORTAGE QU’EST-CE QUE L’AXE SEINE ? REPORTAGE RÉDUIRE LA FRACTURE NUMÉRIQUE : UN ENJEU SOCIAL ET TERRITORIAL REPORTAGE DES OPPORTUNITÉS DE CHANTIERS HORS NORME REPORTAGE L’ÎLE-DE-FRANCE, UNE RÉGION AUX MULTIPLES STRATES REPORTAGE COMMENT FAIRE LE GRAND PARIS DES PIÉTONS ? REPORTAGE DES INTERCOMMUNALITÉS À DIMENSIONS ET AMBITIONS VARIABLES REPORTAGE LE GRAND PARIS VU PAR LES MAIRES QUI L’ENTOURENT

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