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LA PROXIMITÉ AVEC LES TERRITOIRES, C’EST NOTRE ADN : CHRISTOPHE AFONSO

FONDATEUR DE YUMAN, PROMOTEUR IMMOBILIER EN CROISSANCE RAPIDE, CHRISTOPHE AFONSO DÉCRIT L’HISTOIRE ET L’ADN DE SON GROUPE, BASÉS SUR UNE CULTURE DE LA PROXIMITÉ ET DE L’ÉCOLOGIE.



Comment définiriez-vous l’ADN de Yuman ?


L’ADN de Yuman, c’est la proximité avec les territoires, avec les élus et avec l’ensemble de nos clients. Être humain au sens vrai du terme, s’emparer des enjeux des villes, comprendre la volonté et les besoins des élus et transformer les souhaits des clients en projets immobiliers, c’est cela notre ADN. Nous en sommes conscients, chez Yuman, c’est nous qui avons besoin des élus, et non l’inverse. Nous défendons, par ailleurs, l’idée que protéger l’environnement, c’est protéger les hommes. Notre engagement est clair : nous compensons écologiquement 100 % de nos créations immobilières grâce à un partenariat exemplaire avec Reforest’Action.


Comment est né Yuman ?


Notre histoire commence il y a presque 15 ans. J’ai personnellement débuté ma carrière en tant qu’agent immobilier. Ce métier m’a notamment appris que ce n’était pas nous qui décidions ce que nous vendions, mais le marché qui décidait largement pour nous. Cela nous a permis de développer une approche un peu différente de la promotion immobilière. Nous sommes très à l’écoute de nos clients, en particulier du souhait des élus, propre à chaque commune. Nous nous investissons durablement sur les territoires en travaillant avec des entreprises locales pour que chaque projet soit créateur de valeur au profit de la commune qui l’accueille. De plus, pour chaque projet immobilier développé, nous proposons à l’équipe municipale d’identifier un jeune lycéen méritant issu d’une famille défavorisée afin de financer ses études supérieures et de l’accompagner jusqu’à son premier emploi.



« Toutes nos opérations sont 100 % compensées carbone »


« Nous avons une approche d’éco-conception pour les projets que nous réalisons. Nous nous fixons aussi comme priorité de réduire les émissions carbone des activités liées à l’immobilier. Et pour pallier l’urgence climatique, nous compensons d’ores et déjà toutes les émissions carbone de nos projets. Cela représente plus de 70 000 arbres plantés à ce jour. »



Quelles sont vos spécialités ?


Nos réalisations vont de l’immeuble collectif en ossature bois à des résidences étudiantes, des résidences services seniors, des hôtels d’entreprises, comme celui qui accueille nos bureaux à Romainville, des zones artisanales, en passant par des lotissements de maisons en bois, des immeubles de bureaux, des maisons d’architecte. Mais notre cœur de métier reste le logement collectif, qu’il soit social ou en accession. Nous venons de bâtir 7 000 m2 d’entrepôts, également à Romainville. Nous avons eu la chance d’avoir des élus qui ont cru en nous il y a 10 ou 15 ans, en Seine-Saint-Denis. Mais nous intervenons également en Seine-et-Marne, dans les Yvelines, en Essonne, dans le Val-de-Marne ou le Val-d’Oise.



Priorité à l’emploi local


« Nous mettons en place des chantiers qui favorisent l’insertion des habitants des territoires sur lesquels nous intervenons », souligne Christophe Afonso, fondateur de Yuman. « Ainsi, nous privilégions chaque fois que c’est possible un partenariat avec une entreprises locale. Objectif : faire de nos projets, dès leur construction, des éléments d’inclusion sociale au bénéfice de la collectivité. »


Quel regard portez-vous sur la période actuelle ?


Toutes nos créations immobilières sont dorénavant dotées d’espaces extérieurs, en roof-top, en jardins partagés ou en espaces privatifs. Il est désormais inconcevable de penser l’immobilier sans ces espaces, mais à l’évidence, le sujet sur lequel nous sommes tous attendus et sur lequel nous devons être à la hauteur de l’enjeu concerne l’écologie, le combat pour réduire l’empreinte carbone d’une activité qui figure parmi les plus polluantes.


Et le Grand Paris ?


Le Grand Paris, mais surtout le très Grand Paris, sont l’occasion pour toute la filière immobilière de se réapproprier les territoires, de s’affranchir des notions de petite et grande couronnes, de révolutionner notre approche sur les questions environnementales, tout simplement de proposer à nos clients un logement plus responsable, plus fidèle à leur demande. Il y a quelques années encore, les gens souhaitaient vivre à l’intérieur de Paris, puis ne pas dépasser l’A86. Aujourd’hui, ils demandent à ne pas franchir l’A104. Le cercle ne cesse de s’agrandir. Et les gares du Grand Paris vont réduire encore la frontière entre grande et petite couronnes.


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